Les intellectuels francais et allemands face a la Premiere Guerre mondiale : entre nationalisme et pacifisme: Une etude comparee

Bok av Yannick Lowin
Seminar paper de l'anne 2011 dans le domaine Histoire Europa - Allemagne - Premire Guerre mondiale, Rpublique de Weimar, Nancy-Universit 2 (-), langue: Franais, rsum: La Premire Guerre mondiale ou la Grande Guerre qui sest transform rapidement en la premire guerre totale avec la mobilisation de toutes ressources, laissa des traces profondes dans les consciences des millions dhumains qui lont vcue, soit au front soit larrire et qui - dans leur majorit - lont salue aprs elle a clat. Mais comment les intellectuels, llite culturelle et scientifique, ont-ils ragit face cette vnement unique. Est-ce quils pouvaient se drober de lenthousiasme des premiers jours de la guerre qui on peut constater surtout dans les grands villes, chez les bourgeois et les hommes politiques et ont-ils analys la guerre objectivement ? Mais est-ce que ctait possible ? La guerre a-t-il chang la vie des intellectuels ? Pour rpondre ces questions, on doit examiner dabord lencadrement de la vie intellectuel qui a influenc les universitaires, professeurs, crivains, peintres et savants chez leur travail (point 2). Comme il exista une diversit des opinions chez les intellectuels concernant la guerre il est plus pratique pour lanalyse de les sparer en les deux camps les plus opposs, les nationalistes qui taient pour la guerre et les pacifistes qui taient contre la guerre. Donc, qui faisait parti de quel groupe? Pourquoi ? Quelles taient les arguments ? Chez ltude des les deux groupes il sera chaque fois dans une premire phase question de la groupe franaise avant quon prsente la groupe allemande et la compare avec leurs collgues franais. Premirement, dans point 3, il sagira des nationalistes car ctait la groupe dominante dans la France et lAllemagne avant qu il soit question des pacifistes franais et allemands. Ici, il est important de mentionner quil y avait certes une large activit intellectuelle pendant la guerre, mais quil