M.R. 13/18 : Un roman noir haletant

Bok
Complots politiques au sein d'une familleApres le deces de sa grand-mere Lucas Aubin decouvre que son pere militant basque a ete assassine par un groupuscule d'extreme droite - MR 13/18 - dont un des fondateurs est son grand-pere disparu quelques annees auparavant.Pour comprendre l'histoire de ses parents et assouvir son desir de vengeance il recherche les complices eventuels de ce meurtre. Il decouvrira au fil de son enquete que des actes graves pour le pays sont en preparation. La mort est au bout du canon pour certains et du couteau pour d'autres.Desir de vengeance, secrets mafieux, intrigues familiales : tout est reuni pour offrir un thriller reussiA PROPOS DE L'AUTEUR : Serge GueguenJe suis un ecrivain francais. Ma date de naissance n'a que peu d'importance, mais sachez que les cheveux blancs sont bien presents. Quant a ma carriere professionnelle elle a ete riche en rencontres et mes voyages m'ont beaucoup inspire.Depuis les annees quatre-vingt j'ecris des scenarios, des pieces de theatre, des nouvelles et des romans policiers.Dans tout ce que j'ecris, il y a une part de moi-meme qui transpire alors a vous de trouver. Je pense, par ailleurs, que vous pouvez passer un bon moment en compagnie de mes heros.EXTRAIT La nouvelle annee venait a peine d'eclore et un soleil bas envahissait l'appartement de Lucas Albin, quand le telephone sonna.- Monsieur Albin ?- Oui !Au ton de la voix feminine, il comprit que le coup de fil qu'il redoutait depuis plusieurs semaines venait d'arriver.- C'est l'hopital Saint Jacques, votre grand-mere est decedee cette nuit a 4 heures 45, je vous prie d'accepter mes sinceres condoleances monsieur.- Merci, reussit a articuler Lucas avant de demander dans un sanglot, ou est-elle en ce moment ?- A la chambre mortuaire du CHU.- Je passerai dans la journee pour recuperer ses affaires.- Bien, Monsieur, au revoir.- Au revoir, dit Lucas en raccrochant.Une fois le combine repose, Lucas s'assit dans le fauteuil pres du telephone et pleura doucement dans ses mains. La mort de sa grand-mere sonnait le glas de son passe et de son enfance, elle etait le seul lien qui le rattachait a ses parents disparus prematurement.